Christian Arnsperger
Christian Arnsperger est professeur ordinaire à l'Université de Lausanne, au sein de l'Institut de géographie et durabilité (Faculté des géosciences et de l'environnement).
Christian Arnsperger est professeur ordinaire à l'Université de Lausanne, au sein de l'Institut de géographie et durabilité (Faculté des géosciences et de l'environnement).
Geneviève Azam est une économiste française, maître de conférences en économie et chercheuse à l'université Toulouse-Jean-Jaurès.
Ugo Bardi est professeur de chimie au département des sciences et de la terre de l'Université de Florence, chercheur sur les matériaux pour les nouvelles sources d'énergie, contributeur de The Oil Drum.
Marc Barra est écologue à l’Agence régionale de la biodiversité Île-de-France (ARB-ÎdF), hébergée au sein de l’Institut d’Aménagement et d’Urbanisme.
Delphine Batho est députée à l’Assemblée nationale. Présidente de Génération Ecologie, elle développe un projet politique de décroissance.
Inès Bel Mokhtar est dé-designer et prospectiviste.
Elle est actuellement en résidence au sein du programme design des territoires. Co-fondatrice avec Juliette Clapson et Alexandra Lenartowicz du collectif de dé-design terres à Terre. Elle est aussi membre des Steto, un collectif de design dont l'objectif principal est d’améliorer l’expérience des personnes en situation de vulnérabilité par des projets de co-design positionnés dans le domaine du sensible (interactions sociales, environnementales et esthétiques).
Elle a étudié les arts plastiques à l'Université Paris 8 à Saint-Denis puis s'est formée à l'école Duperré en tant que styliste, avant d'intégrer l'Ecole nationale supérieure des arts décoratifs de Paris en design textile couleurs et matières dont elle est diplômée en juin 2022. Au cours de sa quatrième année dans cette école, elle a soutenu un mémoire de recherche intitulé Les Mélancoliques du futur, sous la direction de Stéphane Degoutin, artiste et chercheur.
Médecin spécialiste en maladies infectieuses et tropicales et docteure en épidémiologie et santé publique - Institut Pasteur de Paris -, les recherches de Camille Besombes portent sur l’étude des maladies infectieuses émergentes à travers des approches One Health et Eco Health.
Jean-Claude Besson-Girard est peintre et écrivain.
Philippe Bihouix a travaillé comme ingénieur-conseil ou dirigeant dans différents secteurs industriels, en particulier les transports, l'énergie et la construction.
Célia Blauel est Maire Adjointe de Paris chargée de la Seine, de la Prospective Paris2030 et de la Resilience.
Christophe Bonneuil est historien au Cnrs (Centre A. Koyré).
Clara Breteau travaille comme maîtresse de conférences en arts, écologies et esthétique environnementale au Département d’Arts Plastiques de l'Université Paris 8.
Thierry Caminel est ingénieur dans une grande entreprise de service du numérique, et travaille notamment sur les techniques du "Big Data" et de l'Intelligence Artificielle, tant au travers de projets que d'études prospectives.
Alice Canabate est sociologue, Docteure de l’Université Paris Descartes, chercheure au Laboratoire de Changement social et politique de l’Université de Paris. Elle enseigne à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, à l'Université de Paris, et à l’institut Catholique de Paris.
Hugo Carton est ingénieur centralien, diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris, chercheur associé à l'Institut Momentum.
Pierre-Henri Castel est philosophe et historien des sciences, directeur de recherches au CNRS (Lier Fonds Yan Thomas, EHESS), et psychanalyste.
Julie Celnik a été doctorante en géographie au Centre d’études sur la mondialisation, les conflits, les territoires et les vulnérabilités (CEMOTEV, Université de Versailles).
Johann Chapoutot est professeur d’histoire contemporaine à la Sorbonne.
Denis Chartier est géographe et artiste, Professeur à l’Université de Paris, membre du laboratoire Dynamiques sociales et recomposition des espaces (LADYSS).
Maxime Chédin est agrégé et docteur en philosophie à l'université Paris-Sorbonne, est professeur de philosophie au lycée la Martinière Duchère, à Lyon. Il est membre du comité de rédaction de la revue d'écologie politique Terrestres.
Yves Cochet est président de l'Institut Momentum, ancien ministre de l’Aménagement du territoire et de l’Environnement dans le gouvernement de Lionel Jospin (2001-2002).
Marie Cosnay est autrice et traductrice de textes antiques.
Corinne Coughanowr est ingénieure et docteure en génie chimique.
Christian Couturier est président de NegaWatt et directeur de Solagro.
Il est ingénieur, expert sur l’utilisation énergétique de la biomasse et du biogaz.
Photo : NegaWatt
Denis Couvet est ingénieur agronome et écologue, enseignant-chercheur au Muséum National d'Histoire Naturel (MNHN).
Flore d'Ambrosio-Boudet est professeure agrégée de philosophie dans un lycée de l'Essonne. Elle est docteure en philosophie de l'université Paris-X Nanterre.
Vous trouverez ici les parutions presse, des articles en intégralité dans lesquels différent·es contributeur·ices de l'Institut Momentum seraient cité·es.
Sylvie Decaux est maîtresse de conférences en langue et littérature anglophones à l'IUT de Paris.
Camille Dejardin est professeur agrégée de philosophie et docteur en philosophie politique. Depuis sa thèse de doctorat consacrée à la pensée politique de John Stuart Mill, ses travaux portent sur le libéralisme et ses critiques du XIXe siècle à nos jours, avec un intérêt particulier pour la notion de « chose commune » et ses conditions éducatives et environnementales. Son premier essai, John Stuart Mill, libéral utopique. Actualité d’une pensée visionnaire, est paru aux éditions Gallimard (coll. « Bibliothèque des idées ») en février 2022. Après deux autres ouvrages, elle publiera John Stuart Mill et les conditions de la liberté aux éditions du Passager clandestin (coll. « Précurseurs de la décroissance ») en août 2023.
Diplômée de l’ENSAT (Ecole Nationale Supérieure Agronomique de Toulouse), Inès Dejardin a achevé son cursus d’ingénieure agronome par la réalisation d’un stage de six mois (avril-septembre 2023) au sein de l’Institut Momentum, avec et pour qui elle a réalisé l’étude qui a constitué son mémoire de fin d'études : "Une hypothèse biorégionale pour le bassin versant du Gouët en Bretagne".
Fabrice Flipo est professeur des universités, chercheur en philosophie politique au Laboratoire de Changement Social et Politique, et enseignant à l'Institut Mines-Télécom BS. Il est l'auteur notamment de Nature et politique (2014), Politique et vérité (2017), L'impératif de la sobriété numérique (2020) et Changer les modes de vie. Une dialectique matérialiste au-delà du plan et du marché, Le Croquant, 2024.
Christophe Gay est codirecteur, avec Sylvie Landriève, du Forum Vies Mobiles.
Françoise Gollain est sociologue et spécialiste de la pensée d'André Gorz dont elle a été l'amie les 9 dernières années de sa vie.
Natacha Gondran est professeure en évaluation environnementale au sein de Mines Saint-Etienne et l’UMR 5600 Environnement, Ville, Société.
Sophie Gosselin est philosophe et enseigne dans le Master Etudes Environnementales de l’EHESS à Paris. Son travail de recherche porte sur les conséquences philosophiques de la crise écologique et du tournant ontologique en anthropologie. Elle est membre du comité de rédaction de la revue en ligne Terrestres, revue des livres, des idées et des écologies. Elle a publié plusieurs articles qui prennent acte des enjeux écologiques pour repenser notre rapport sensible au monde, ainsi qu’à l’art et au politique. Elle est, par ailleurs, vice-présidente du conseil scientifique du bassin Loire-Bretagne.
Alain Gras est professeur émérite à l'Université Paris I Panthéon-Sorbonne, il a fondé le Centre d'études des techniques des connaissances et des pratiques (CETCOPRA) et le parcours « techniques, environnement, sociétés » de l'option sociologie du Mastère de philosophie et société.
Jacques Grinevald est professeur honoraire à l’Institut universitaire d’études du développement à Genève. Épistémologue et historien du développement scientifique et technologique, il est membre de la Geological Society of London, et du Anthropocene Working Group (Commission internationale de stratigraphie, sous-commission du Quaternaire).
Emilie Hache est maîtresse de conférences au département philosophie de l’université de Nanterre.
Hydromondes est un collectif pluridisciplinaire regroupant des auteurs, architectes, paysagistes, ingénieurs, philosophes, artistes et comédiens, qui mène des enquêtes populaires sur l’eau, les rivières et leurs bassins-versants à travers la France. Inspirées par le concept de biorégionalisme, ses actions se déploient à la croisée des arts, des sciences et des luttes.
François Hébert est cinéaste doctorant SACRe
PSL
à la Fémis.
Paul Jorion est titulaire de la chaire « Stewardship of Finance » à la Vrije Universiteit Brussel.
David Korowicz travaille à comprendre le risque systémique à grande échelle et à soutenir les réponses politiques et sociales.
Pierre Lacroix est architecte paysagiste.
Karim Lahiani est paysagiste, urbaniste et géographe diplômé de l’École nationale supérieure de paysage de Versailles, de Sciences Po Paris, de l’Institut d’études politiques de Lyon et de l’Université Lyon II.
Sylvie Landriève codirige le Forum Vies Mobiles. Auparavant, elle a monté et piloté des projets immobiliers et d’aménagement urbain privés et publics (BNP Real Estate, SNCF).
Christophe Laurens est architecte, paysagiste et enseignant, membre fondateur et administrateur de l'Institut Momentum.
Alice Le Roy est militante écologiste, journaliste et enseignante.
Michel Lepesant est professeur de philosophie.
Enzo Lesourt est docteur en philosophie politique, diplômé de Sciences Po Grenoble.
Vincent Liegey est ingénieur, chercheur interdisciplinaire, essayiste et conférencier
Fanny Lopez est historienne de l'architecture et des techniques (doctorat à l’Université Paris I Panthéon Sorbonne), Professeure habilitée à diriger des recherches à l’ENSA Paris-Malaquais et co-directrice du LIAT. Ses activités de recherche et d'enseignement portent sur l’impact spatial, territorial et environnemental des infrastructures énergétiques et numériques, ainsi que sur les imaginaires techniques associés. Parmi ses ouvrages : Le rêve d'une déconnexion. De la maison autonome à la cité auto-énergétique (Ed. La Villette, 2014, traduit chez Manchester University Press, 2021) ; L'ordre électrique, infrastructures énergétiques et territoires (Ed.Métis Presses 2019 - prix de l'AARHSE), À bout de flux (Ed. Divergences, 2022), Le feu numérique : spatialité et énergie des data centers (Ed.Métis Presses 2023). En 2023 elle co-crée et co-dirige le festival sur les imaginaires techniques (à Mellionnec) : La machine dans le jardin et participe à la Biennale d’architecture de Venise avec le projet Prospect Station.
Pietro Majno est chef du Centre hépatobiliaire des hôpitaux universitaires de Genève, spécialiste des greffes du foie, et membre du Rassemblement des objecteurs de croissance.
Loïs Mallet est doctorant en philosophie politique sur la question de l’engagement écologiste au temps des catastrophes.
Virginie Maris est chargée de recherche au CNRS. Elle travaille en philosophie de l'environnement au Centre d'écologie fonctionnelle et évolutive (CEFE) de Montpellier.
Docteure en pharmacie, diplômée d’HEC Paris, Clémence Marque a travaillé durant 20 ans dans le conseil en stratégie, dans l’industrie pharmaceutique puis avec la filière de production pharmaceutique française. Elle dispose d’une large expertise du médicament, de sa production à sa dispensation en passant par son développement et son financement.
Certains articles, rapports, études sont rédigés de manière collective avec différents membres de l'Institut Momentum. Vous trouverez également la promotion de publications et d'ouvrages de notre réseau.
Alexandre Monnin est directeur Scientifique d’Origens Media Lab, Professeur en école de management (ESC Clermont) et ancien président de l’association Adrastia.
Ghislain Nicaise est biologiste et militant, il a été universitaire jusqu'en 2000.
Thierry Paquot est philosophe, il se préoccupe depuis une trentaine d’années du devenir urbain du monde.
Kim Pasche est spécialiste des techniques de vie primitive.
Corinne Pelluchon est agrégée de philosophie.
Né en 1981, Benoît Pelopidas est fondateur du programme d’étude des savoirs nucléaires (Nuclear Knowledges) de Sciences Po et chercheur associé au Center for International Security and Cooperation (Cisac) de l’université Stanford (États-Unis). Lauréat de subventions pluriannuelles de l’Agence nationale de la recherche et du Conseil européen de la recherche, Benoît Pelopidas a notamment publié Repenser les choix nucléaires. La séduction de l’impossible (Sciences Po-Les Presses, 2022), essai dans lequel il promeut une discussion publique autour d’un sujet classé « secret défense » : l’armement nucléaire. Il discute en détail le film Oppenheimer et ce qu’il dit sur le contemporain dans ce podcast.
Anselme Petit est étudiant en écologie politique. Il a rédigé un mémoire sur l’effondrement systémique.
Vincent Pierré est ingénieur mécanique et thermique ayant commencé sa carrière comme productiviste dans l'industrie automobile.
Alessandro Pignocchi est un ancien chercheur en sciences cognitives et philosophie de l’art à l’Institut Jean Nicod, il s’est reconverti dans la bande dessinée, l’écologie politique et le militantisme. Il a notamment publié La Recomposition des mondes, un récit de sa rencontre avec la zad de Notre-Dame des Landes. Plus récemment, dans Ethnographies des mondes à venir, il s’interroge avec Philippe Descola sur la portée politique de ce type d’expériences communalistes.
Antoine Prioux est pharmacien d’officine à Bugeat, dans le Parc naturel régional du plateau de Millevaches, dans le Limousin (aujourd’hui en Nouvelle-Aquitaine).
Cécile Renouard est professeure de philosophie au Centre Sèvres (faculté jésuite de Paris) et enseigne à l’école des Mines de Paris, à l’ESSEC et à Sciences Po.
Olivier Rey est chercheur au CNRS, à l’Institut d’histoire et de philosophie des sciences et des techniques (IHPST, Paris).
Estienne Rodary, directeur de recherche à l'IRD, s’intéresse aux politiques de conservation de la biodiversité, à l'écologie politique et aux humanités environnementales. Il a travaillé et vécu aux Etats-Unis, en Afrique du Sud et en Nouvelle-Calédonie. Il a été rédacteur en chef de la revue Écologie & Politique et est actuellement directeur du département Sociétés et mondialisation de l’IRD.
François Roddier est astrophysicien, connu pour ses travaux qui ont permis de compenser l’effet des turbulences atmosphériques lors de l’observation des astres.
Onofrio Romano est professeur associé de sociologie à l’université de Rome 3, où il enseigne la sociologie du post-développement et les humanités environnementales. Ses travaux traitent de théorie sociale, postmodernité, participation politique, sociétés méditerranéennes et décroissance. Il est notamment l’auteur de The Sociology of Knowledge in a Time of Crisis (Routledge, 2018), de Georges Bataille. Depensare la crescita (Jaca Book, 2019), La libertà verticale (Meltemi 2019), Towards a Society of Degrowth (Routledge, 2020), Critique du régime de croissance (à paraître aux éditions Liber à l'automne 2024).
Anne Rumin est docteure en science politique de Sciences Po Paris. Sa thèse L'écologie politique face à l'effondrement systémique : enquête sur la collapsologie et ses interprétations politiques, a été dirigée par Gil Delannoi, directeur de recherche à Sciences Po, CEVIPOF.
Luc Semal est Maître de conférences en Science politique au Muséum national d'histoire naturelle, chercheur au Centre d'écologie et des sciences de la conservation (Cesco) et chercheur associé au Centre d'études et de recherches administratives, politiques et sociales (Ceraps).
Pablo Servigne est chercheur indépendant et transdisciplinaire.
Léna Silberzahn est doctorante en théorie politique à Sciences Po.
Agnès Sinaï est journaliste environnementale et auteure, actuellement directrice de l'Institut Momentum.
Robert Spizzichino est président de l'association CARMA Gonesse. Il est ingénieur-urbaniste, spécialisé dans la programmation et le montage de projets territoriaux complexes, qu’ils concernent des activités économiques, des opérations touristiques, de la rénovation urbaine, et des urbanisations nouvelles.
Raphaël Stevens est chercheur indépendant spécialisé dans les études prospectives, les sciences de la complexité et la modélisation qualitative. Il est co-fondateur de Greenloop, agence-conseil spécialisée en biomimétisme, et de l'ONG Biomimicry Europa. Co-auteur du best seller Comment tout peut s'effondrer ? Petit manuel de collapsologie à l'usage des générations présentes, Seuil, Coll. Anthropocène, 2015. En 2018, avec Pablo Servigne et Gauthier Chapelle, il publie Une autre fin du monde est possible : vivre l’effondrement (et pas seulement y survivre) qui invite notamment à travailler sur soi pour se projeter au-delà de la catastrophe. En 2020, il publie, toujours avec Pablo Servigne, Aux origines de la catastrophe : Pourquoi en sommes-nous arrivés là ?
Paolo Stuppia, docteur en science politique, est chercheur associé au CESSP (université Paris 1-CNRS) et à Cal Poly Humboldt (Arcata, California, USA). Spécialiste des mouvements sociaux et du “retour à la terre”, il co-dirige actuellement une recherche sur les néo-ruraux en Californie et Oregon (BTL Project) et anime une coalition de projets voués à préserver la mémoire de la contreculture des années 1960-1970 outre-Atlantique (Counterculture History Coalition).
Mathilde Szuba est maître de conférences en sciences politiques à Sciences Po Lille, docteure en sociologie de l’environnement au Centre d’Etude des Techniques, des Connaissances et des Pratiques (CETCOPRA, Université Paris I).
Terrestres est la chambre d’écho des livres, des pratiques et des idées quiredonnent des mondes et des écologies à la politique, au social et à la culture. Essais, recensions, fictions, poèmes et formes hybrides : nous accueillons les textes qui aujourd’hui animent les milieux universitaires autant que militants, les espaces publics autant que les expériences intimes, susceptibles de nous restituer la Terre qui nous manque.
Benoît Thévard est ingénieur des Mines et citoyen engagé dans la transition écologique.
Tomas Togni Tarquinio est titulaire d’une licence en économie à São Paulo, d’une autre en anthropologie à Paris VII, d’une maîtrise en économie industrielle à Paris I et d’un master en prospective à l’EHESS.
Isabella Tomassi est actuellement en doctorat en aménagement et urbanisme à l'Université Lumière Lyon 2.
Stéphane Tonnelat est chargé de recherche au CNRS, au laboratoire LAVUE. Il a mené pendant 5 ans, entre 2017 et 2022, un terrain ethnographique au sein du Collectif pour le Triangle de Gonesse. Il prépare un ouvrage monographique sur cette mobilisation qui montre la puissance de l’action collective citoyennes et ses limites face à une “machine de croissance” inscrite dans tous les rouages du pouvoir. Avant ce travail, il a travaillé sur les espaces publics urbains comme le métro de New York (International Express, avec William Kornblum, Columbia University Press, 2017), les chantiers de construction (L’art en chantiers, Archibooks, 2016), les parcs et jardins et terrains vagues à Paris et New York. Il enseigne la méthode ethnographique dans le parcours Etudes environnementales de l’EHESS et il est membre du comité de rédaction de la revue en ligne bilingue metropoliques/metropolitics.
Jean-Luc Wingert est consultant en innovation sociale, ingénieur de formation et diplômé de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales.
Joëlle Zask enseigne au département de philosophie de l’université Aix- Marseille.
Marc Zischka est entrepreneur et formateur en permaculture.